Huguette Grémy-Chauliac (harpsichord) Ludwig Van Beethoven, Trois sonates: No. 1, 8 & 14

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Released 1972 by Decca, Société Française du Son, series “Grands Classiques” 117.001 A
Harpsichord built in 1969 by Hubert Bédard after Ruckers 1646, refait by Pascal Taskin in 1780 and conserved in Musée instrumental du conservatoire National de Paris.
Cover: Plarl Slieler – Portrait de Beethoven, photo: Loni, Courteuille/Top Agence

Thanks to Robert Tifft the webmaster of the European Revival Harpsichordists ( for providing all the documentation and already cleaned up acoustic material to make this publication possible.

Face I
SONATE AU CLAIR DE LUNE
Sonata quasi una fantasia per li Cembalo o Piano-Forte composta e dedicata alla damigella Comtessa Giulietta Guicciardi da Luigi van Beethoven, Opus 27 No. 2 – Vienna – presso Giovanni Cappi (1802)
00:00 Adagio sostenuto
04:27 Allegretto
06:30 Presto agitato

GRANDE SONATE PATHETIQUE
Pour le clavecin ou Piano-Forte – Composée et dédiée a. Son Altesse Monseigneur le Prince Charles de Lichnowsky par Louis Van Beethoven Oeuvre 13 – Chez Joseph Eder am Graben (1799)
12:49 Grave – Allegro molto e con brio
20:03 Adagio cantabile

Face Il
GRANDE SONATE PATHETIQUE (Suite et fin)
24:27 Rondo: allegro

SONATE EN FA MINEUR N° 1, Opus 2
Tirée des 3 Sonates pour le Clavecln ou Piano-Forte. Composée et dédiée à Monsieur Joseph Haydn, ” Docteur en Musique” , Maitre de Chapelle de Son Altesse Monseigneur le Prince Esterhazy par Louis Van Beethoven. Oeuvre 2 – Vienne . Chez Artaria (1796)
29:15 Allegro
33:03 Adagio
37:26 Menuetto
40:09 Prestissimo

Les titres de page figurant sur les trois Sonates – Opus 2, 13 & 27 – de la première édition à Vienne (reproduits intégralement, ci-dessus, en italique) nous permettent de nous poser la question : pourquoi Beethoven pour l’exécution de ses premières Sonates – non pas toutes – nous a-t-il proposé ,l’alternative du clavecin ou du piano-forte? Que ce soit à cause de la rareté relative de cet instrument nouveau que l’on nommait le Piano-Forte ou pour d’autres raisons que l’·on verra plus loin, toujours est-il qu’en cette fin du XVIIIe siècle ou au début du Xlxe, nombre de contemporains de la «Pathétique” ou de la Sonat,e «Au Olair de Lune », ne purent avoir la révélation du génie de Beethoven que sur des cIavecins, l’instrument à clavier le plus répandu à l’époque.
Comment s’opéra cette révélation?
Comment pouvait sonner cette musique sur les grands instruments de Taskin et d’autres facteurs d’alors?
C’est ce que cet enregistrement, que l’-on pourrait qualifier d’insolite à notre époque, se propose d’illustrer en révélant pour la première fois une exécution de ces Sonates dans leur version claveCin, l’une des deux possibilités proposées par Beethoven lui-même : «per Cembalo 0 Piano-Forte» dans le titre de ,la Sonate «Au Clair de Lune” – manuscrit autographe (Prod ‘homme «La jeunesse de Beethoven” ).
Si Beethoven a pu laisser le choix entre deux instruments, ce n’est pas seulement pour la raison déjà citée, c’est-à-dire, la rareté du Piano-Forte, c’est bien aussi qu’à cette époque, les deux instruments n’étaient pas foncièrement différents comme ils le sont devenus ultérieurement.
Quel était donc l’instrument sur lequel Beethoven composait?
Quelques années plus tôt, s’émerveillant sur les pianos de Stein, Mozart écrivait à son père en 1777 : « Quand je frappe fort, je puis laisser le doigt sur la touche ou le relever; le son cesse au moment que je ,le fais entendre. Le son est toujours égal , il n’est pas trop fort, ou trop faible ou tout à fait manquant. .. »

#HubertBédard #HuguetteGrémyChauliac

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